Basculement

Entrer dans une lumière prend possession,  elle a un nom, un corps , Une âme , une brillance intérieure bâtie des murs où l’on peut voir Les vies non par l’occlusion seule mais la tension révèle deux tiges absolument amples d’espace contiennent le mouvement vers le mur qui brûle, il faut la suivre, de là,Lire la suite « Basculement »

Scintillation – Shen Congwen et sa femme Zhang Zhaohe

De l’index toucher et reposer l’étoile dans la paume,  ou de l’œil, édifier et défiler le chemin de douceur ou tendre la soie d’un voyage ému, à travers les montagnes, rire et descendre les déserts et parler au temps. Le ciel dans le regard, j’aime le bloc dans la pensée de ceux que j’ai rencontréLire la suite « Scintillation – Shen Congwen et sa femme Zhang Zhaohe »

Ombre

Si l’ombre n’est pas cette bienfaisance et l’abri de la lumière   Considérée comme telle crue et diaphane morsure de la lumière   Le corps lui même pénétré abandonnant toute densité   Comme une larve sous le corps de la terre et y cédant ; une cellule espaçant les points de l’incarnation jusqu’à devenir lueurLire la suite « Ombre »

le songe de la lumière

La baie est ouverte sur la lumière, elle irradie, Ce sont toutes les lumières au delà la forêt qui comme un prisme étend le visible dans une ardeur qui est à la foi et à l’éblouissement, l’idéal que chaque voilier en partance emmène s’il tient à revenir. De la fenêtre sans ombre l’idéal se fondLire la suite « le songe de la lumière »

se plisse ce qui se bée

Quand se plie la peau s’avère l’étonnement se plisse ce qui se bée l’émotion saturée, comme l’écorce la toile un grand manteau et que la  chaleur frémit réverbère et jusqu’aux recoins de l’ombre comme les pointes exposées le fracas du silence vents solaires, les fourbes me plaquent contre toi et rient de la distance toiLire la suite « se plisse ce qui se bée »

lignes de fuite

entre les feuilles et le lointain l’écorce introduit la certitude, là ou la matière verticalement s’édifie concentrique et plonge entre les terres et l’air ce qu’offre le tronc n’est rien de plus que la densité un chapeau où les saisons alternent les rivalités et les retraits, feuilles et pointes en rais de lumière entre cesLire la suite « lignes de fuite »