Entrer dans
une lumière prend possession, elle a un nom, un corps ,
Une âme ,
une brillance intérieure bâtie des murs où l’on peut voir
Les vies
non par l’occlusion seule mais la tension révèle
deux tiges
absolument amples d’espace contiennent
le mouvement vers
le mur qui brûle, il faut la suivre,
de là, naîtra le poème