Il parait que le sexe est l’endroit le plus odorant du corps et que certains n’embrassent pas car la bouche et les canines aussi voient de près la viande les exubérances du végétal la langue est plus douce l’amande et l’eau et la salive sont parents la cascade quand vu du pont j’écoute, je meursLire la suite

Un échafaudage pour que l’ombre puisse s’y asseoir sujet au frottement et au déplacement – comme des couches frottant recouvrant la terre de bruns dont le gris constitue l’armature et laissant crisser les crayons inciser – les directions que les grandes entailles donnent à la toile Sur une liste accumulant les voyelles ou le départLire la suite

temps que la pluie ose

Largement comme porteur d’eau au désert sur le visage est un périple bleu fait d’ombre qui revient à l’ambre Couleur de sable et plutôt lumière c’est un vitrail et non une mappemonde Il y a les hauts faits sur la barre du front et les crevasses qui entassent le vécu couches du passé et leLire la suite « temps que la pluie ose »

Dans un visage

Qu’y a t’il de si magnifiquement apaisant à saisir à deux main un visage et l’approcher de soi, la main et le visage si proches à ce moment là le visage ne se contemple pas et se détache presque de soi où il se sait planté, le corps, la certitude, la psychologie, la relation vientLire la suite « Dans un visage »

L’histoire, rien ne ment.

Comment peindre ce qui est indubitablement est, un portrait, fidèle avec ses envolées, dans cette série il y a le mystère qui indubitablement est. Des aplats, d’abord un regard, puis une surface, avec scratch ou aspérités, l’halène et l’aspic c’est un voyage de légende dans la toile. Le sable recourt le noir mais toute l’histoireLire la suite « L’histoire, rien ne ment. »