temps que la pluie ose

Largement comme porteur d’eau au désert sur le visage est un périple bleu fait d’ombre qui revient à l’ambre Couleur de sable et plutôt lumière c’est un vitrail et non une mappemonde Il y a les hauts faits sur la barre du front et les crevasses qui entassent le vécu couches du passé et leLire la suite « temps que la pluie ose »

Dans un visage

Qu’y a t’il de si magnifiquement apaisant à saisir à deux main un visage et l’approcher de soi, la main et le visage si proches à ce moment là le visage ne se contemple pas et se détache presque de soi où il se sait planté, le corps, la certitude, la psychologie, la relation vientLire la suite « Dans un visage »

Tribute à un décor de Tennessee

Il y a vingt ans ,j’imaginais pour les décors d’une pièce de Tennessee Williams des murs bleus aussi viciés que les vies allumées des voitures, des vies qui ne pouvaient manquer de se perdre quoiqu’on fasse et sans mélancolie ni sans l’aide de la bouteille, il fallait s’en tenir éloigné, tout était immobiles seuls lesLire la suite « Tribute à un décor de Tennessee »

ligne d’ombre

ligne d’ombre » bombée sur les éclairages les lignes ne soulignent l’espace seulement dans les gris forment une il ne s’agit pas de texture car c’est l’espace qui agit travaillé de torsion interne le gris même est soupesé comme une masse révélée seulement par les échancrures, ballonnements du fond un lecteur attentif dirait que les rythmes sont àLire la suite « ligne d’ombre »