l’eau tremble

Non, je ne suis pas la chambre d’écho de ce que je perçois des satellites une suite de mots interrompue je les récolte et les mets dans le pan de me chemise   je marche même sans bouger et rien ne bouge une étrange vacuité pèse quand il est certain qu’une grande écharpe de tonsLire la suite « l’eau tremble »

Mounture

Tout le problème est, trouver un espace plan où pouvoir marcher. le temps du langage ne doit pas s’encombrer serre la narration à raconter quand il y a tant à rencontrer , cela suppose l’emploi d’un présent à porter dans sa besace pas de gibecière car on ne prend rien, pas de nasse, une pocheLire la suite « Mounture »

moineau perché

Un jeune oiseau fuyant les pies chez moi s’est posé sur le cadre d’une toile peinte le tableau montrait l’envol phœnix sur le bord le moineau perché calmement attend regarde cet intérieur disant la liberté   je n’ai pas bougé l’instant  est fragile l’oiseau a du prendre peur de toute sa hâte et la violenceLire la suite « moineau perché »

les hommes dans l’homme

Zoran, dans les marges de l’Europe, le voyage hors des camps , quand le retrait de l’humanité tue que l’on ne retient que cela   près des cotes de l’ »Adriatique rattrapé par la meute le meurtre le social constitué en histoire meute l’enferme le réduit à au ppcm humain, autant dire peu , un chiffre,Lire la suite « les hommes dans l’homme »

Repos l’Hélène

immigrating on a floating cabin on lake Michigan geee! I love Lake Michigan ! c’est pollué dis-je – moi aussi dit-elle – se repollenisant (couche de mastic sur la face et rimmel on top) — silence—- révélateur —- chambre noire et rideaux tirés sur le corps à corps phantasmagoricosexuel diurne — ah oui c’est bienLire la suite « Repos l’Hélène »