Tout le problème est, trouver un espace plan où pouvoir marcher. le temps du langage ne doit pas s’encombrer serre la narration à raconter quand il y a tant à rencontrer , cela suppose l’emploi d’un présent à porter dans sa besace pas de gibecière car on ne prend rien, pas de nasse, une poche à tendre au premier venu et s’assoir, chique, ou ne pas s’assoir éviter de dire dit tout le problème à raconter est de laisser venir .
de dire sans vouloir dire permet de voir c’est pourquoi les mots s’échappent et rejoignent les arguments de la recette, on parle d’ingrédient et l’essor de l’instant échappe à la recette, pas de perte, la régénérescence dans le ciel les nuées des oiseaux
la brume de l’eau sous le mont, montent les poissons muets
c’est pourquoi il vaut mieux voir en vagues
qui même régulières sont autant d’assauts et culbutent prenant par surprise
laissent sèche la roche
les pieds dans l’eau gardent l’esprit au frais
dans les yeux le pourtour de la couleur inscrit sans décrire avant de repartir.
