Non, ! la vie est si trouble que je n’ai pas de plan , la vie , ce que l’on entend par là est surtout un espace, d’où l’on prend, où l’on va, de plan ? j’entends par là l’horizon , un endroit où aller, dans l’imaginaire, est surtout un espace un endroit plus ou moins malléable qui s’étend où rencontrer et faire connaissance, réjouissance, sans effort qui suffise à faire de grands tours, un tour suffisamment grand pour qu’un ours à l’aise puisse rêver sur le dos d’une marguerite, fouler des mousses et marcher sur la queue de la peur, peur du double auquel je me heurte lorsque je caresse et cause aux murs. Il n’y a pas de mots pour le dire, une attente qui s’éteint face à une promenade close et la gène.

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