marinheiro

et si l’on devait dire le bouleversement quand à la mer marche l’étendue de l’eau la poitrine inspire les flots, aspire à s’embrumer, brume d’eau aux surfaces des écailles pour le marin c’est comme claquer la porte d’en bas de la rue qui monte et suivre les pavés jusqu’au bureau de tabac, et s’en revenir au portLire la suite « marinheiro »

carla ferro , poète(esse) du Cap Vert

maison de la poesie de Namur Sur les bords des volcans où j’ai fait mon jardin Ce matin l’Afrique en rognures Mes rêves en plasmas coagulés Je maudis les hommes de glace des temples cupides Et je meurs de soif sur les bords des volcans En feu, Mes os S’effacent et meurent Poussières de sableLire la suite « carla ferro , poète(esse) du Cap Vert »