Partie comme une eau insatiable pressée par toutes les pulpes à la dérive de la source vers l’embouchure Le grand océan lustré des glissades de ses sables des brillances humides des résurgences mammifère hors de la mamelle Terrienne où se perdre et renaitre en un mot un seul : paître et se repaître dans lesLire la suite

L’astre brute hurlant brulant hors de toute description retombe sur ce qui repose d’un claquement de langue sur l’épiderme soleil  m’a transpiré éclat noir d’une courte flèche lancée à l’aveuglette des puits éruptifs des volcans de l’étoile fureur retombant en soies brunes sur la métamorphose du pétale ouvert sur l’éclair et la roche en couleursLire la suite

Le vent chaud cette puissance à déstabiliser le figé osciller violemment par un déplacement qui désormais place l’être dans un sursaut solaire  lui fait échapper à l’ombre, la lumière lui réalise ce qu’il y avait d’illusoire à se croire ligne droite en provenance d’un terreau obscur quand c’est de l’astre qu’il est l’esclave et qu’ilLire la suite

Derrière ce voile que la nuit relâche il est difficile de voir ce dont sont fait les tempêtes ces soubresauts du vide et de l’atmosphère quand le noir indifférencié lentement se lève brume et déchirements de jour la fermentation dans l’effarement de l’obscurité pesamment avec douceur cède à la vision sans qu’elle surplombe mais s’élèveLire la suite

Tellement dans la beauté comment ne pas t’aimer envole toi embrasse les nuages salue l’océan foule la terre de l’ile couvre toi de ses fleurs et aime! nage dans les eaux de l’amour change de peau réponds au chant de l’oiseau j’enlacerai l’idée de toi rejoignant ton entièreté