La chaleur n’écrase plus elle est complice porté par des vents du jour venue de l’intérieur cesse de brûler le pourtour céleste non les aiguilles mais le bruissement de l’écrasement venu sur le corps comme une eau qui ruisselle allant au plus profond et remonte en pluie vers l’étincelle de l’univers en soi irradié  

Song quand tu t’en vas

 Tu m’annonces que tu t’en vas, je le savais j’attendais dans le silence les beaux oiseaux sur la cote font face à l’océan à l’immensité de gouttelette le regard perdu dans la beauté les pattes rivées sur l’avenir je m’en souviens tu me l’avais dit le bel oiseau aime l’espace il s’envole au carmin qu’ilLire la suite « Song quand tu t’en vas »

J’ai vu venir vers moi ce que je pressentais ma vie m’avait marché les yeux fermés comme séparée par une distance de verre tourné sans doute vers l’intérieur l’extérieur semblait d’un autre ordre pourtant comme arrivant avec clarté un jour limpide libéré des occlusions comme réveillant mains soleils endormis s’en venant à bout de laLire la suite