La chaleur n’écrase plus
elle est complice
porté par des vents du jour
venue de l’intérieur
cesse de brûler le pourtour céleste
non les aiguilles
mais le bruissement de
l’écrasement venu sur le
corps comme une eau
qui ruisselle allant au plus
profond et remonte en pluie
vers l’étincelle de l’univers
en soi irradié
