Partie comme une eau insatiable
pressée par toutes les pulpes
à la dérive de la source
vers l’embouchure Le grand océan
lustré des glissades de ses sables
des brillances humides des résurgences
mammifère hors de la mamelle Terrienne
où se perdre et renaitre
en un mot un seul : paître et se repaître
dans les envahissements
des mouvances de l’émeraude
