car go

La rencontre d’un cargo chargé de brume les couleurs claires des caisses closes sans plus d’éclat que les jours quand il n’y a pas de tempête surchargé des mauvaises nouvelles du monde   les gens contrairement à avant ne saluent plus sur son passage le haut voilier les cris de joie ni les fleurs surLire la suite « car go »

la sonde sans qu’il y ait d’îles

Les mots comme une sonde ne s’éprennent pas des algues ni du plancton, les jambe plongées dans les fonds éclaboussent de vaguelettes , c’est qu’ils ramènent à la surface des cloques d’eau, poissons scintillants qui n’en sont pas, dont les oiseaux ne veulent pas, lumière qui brille que l’on prend pour l’immensité quand la douceurLire la suite « la sonde sans qu’il y ait d’îles »

au livre les images

    survenir aux Iles aux hanches les épices sont ce îles éparses soulevées par le vent ou archipels         Les îles sont les chevaux des tempêtes et dans l’obturation des hauts fonds laisse une marge à la manoeuvre surajoute la superposition des teintes signale les fonds aux eaux plus récentes de la surface quiLire la suite « au livre les images »

l’aube de l’ô se prononce « ou »

L’aube de l’ô se prononce « ou » comme un acquiescement un baiser au bleu, on ne saurait à moins se parer mais ce n’est pas tant le bleu que l’on le voit que cet océan mouvant, vivant des ses mouvances, l’errance est un vivier du noir au gris se nourrit le bleu mais drapé de blanc demeureLire la suite « l’aube de l’ô se prononce « ou » »