Maintenant (ce que ne dit pas ton nom)

 l’en bouche       l’en tonoir  va ramasser des mots dans ce clin ou seul le blanc de l’œil n’est pas noir. Pousser une porte sur le vide revient à se cacher derrière des livres que l’on ne voit pas, face ou de dos parfois ils bougent et migrent.   Cela va de plus en plus vite  Lire la suite « Maintenant (ce que ne dit pas ton nom) »

 La trace de l…

La trace de l’humain et l’écho de la pigmentation, l’entour et l’en-dedans de la voix, c’est cela qui habite l’âme humaine l’aventure en aspérité dans les vagues la houle et ouvert dans les creux l’ouverture vers ce que nous contenons, les yeux qui portent vers la vue et nous entendons ce sifflement dans l’herbe  fouléeLire la suite  » La trace de l… »

ouvrir le rien

« … elle ouvre le présent à partir du rien, un rien dont l’ouvert est le jour. C’est pourquoi de toute sa réalité elle repousse les avances de l’étant sous la garde du principe d’incertitude. Elle se tient, elle tient l’être hors de soi. Elle existe à intérioriser ce hors. C’est en ouvrant ce vide, dehorsLire la suite « ouvrir le rien »

a kiss for you

L S flor 2001 Les grains de sablent roulaient                   du désert à la mer     en hiéroglyphes infinis            dans l’intervalle magnifique        qui sépare                une femme et un homme               comme une lézarde éclair      point de rupture insondable Tanella Boni; grains de sable; éd. le bruit des autres L S bansuri 2002