« … elle ouvre le présent à partir du rien, un rien dont l’ouvert est le jour. C’est pourquoi de toute sa réalité elle repousse les avances de l’étant sous la garde du principe d’incertitude. Elle se tient, elle tient l’être hors de soi. Elle existe à intérioriser ce hors. C’est en ouvrant ce vide, dehors toujours au centre, qu’elle entre en présence pure.
« Peinture pure, réalité ».
Henri Maldiney , l’art nu, ouvrir le rien; éd. encre marine
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ouvrir le tout en mettant le rien en dehors de soi…c’est ce que ça m’inspire mais ce n’est que moi
L’idée même est superbe!
mais le rien n’est-il pas
dans toute ouverture?
n’est-ce pas
toujours lui
qui s’ouvre?
je ne sais pas , sans doute , central à la pensée de Maldiney , ouvrir le rien, l’art nu ; cette pensée en longue filiation m’a inspiré , m’inspire même si elle m’interroge aussi , en fait nous quoi , le rien , pour moi sans doute ce serait histoire de ne pas nommer le tout , ou bien faire en sorte de ne pas se méprendre, ne pas penser le tout en terme quantitatif , c’est pourquoi nous préférons le rien , ou le moment d’avant si l’on pense en terme de temps ; aujourd’hui je vois cela plus ou moins comme ça ,
merci de votre passage , je me suis promené un peu sur votre blog superbe , pas assez , en ai déja retiré des « choses » , une lecture chez publie.net , etc .
lam
je viens de poster un petit texte qui peut vous intéresser
A bientôt
jeanpaulgalibert.wordpress.com