Lave de l’ombre une étendue du temps rassemblée dans la main potière, en suspension sans remblai l’eau au creux de la main est ouverte au col
Lave de l’ombre une étendue du temps rassemblée dans la main potière, en suspension sans remblai l’eau au creux de la main est ouverte au col
dire maintenant c’est tenir en main mouvement même arr^té mais là même si rien bouge la furieuse activité dérape les mots signifient ce qu’ils disent et étalent la couverture à l’intérieur des rêves et de quoi manger courir ou rester assis en même temps que simultanément
si mul T la lettre suffit pour dire le vertige de l’immobilité en allant T le pivot T le geste ce serait G isolé en boucle sur soi alors que T suppose que les éléments reposent en complémentarité boucle du temps sur l’allant de ce qui ne s’entend pas la pointe aiguisée le battement ce serait B
ensemble de lettres qui ne sont que les départs des différentes directions l’Ω suffit et l’embouclement des songes serait-ce ∞ l’o par lequel drilll une embouchure se faufiler les lettres f -f – f ne font rien à l’affaire c’est entrevoir et respirer ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, un souffle rien de plus et tous les souffles correspondent à des états des morsures élans ou apaisement la on voit que les consonnes &nbs
p; propulse quelque ambivalences de son l’infini les reçoit la bouche ouvre et lâche tous ces temps des espaces correspondent à des vides ou semblant tels respiration avancée juxtaposition
revenir à dire
mais il n »est plus temps O sans espace la liaison perpétuerait un amalgame
le cycle émet étrangement une aptitude à vivre ou conter est dépassée
à suivre
l’ensemble de voyelles appelle va bien aussi
crissement à l’égal du blanc les mots accrochent le silence
porte de l’inaudible
que
ce serpent qui bouscule en douceur par en dessous
murmures
ces chantages de la vibration
ces relations au son
passage de l’un à l’autre
massacre
où les frétillements des queues
tranchent de haut en bas
des couleurs
à l’insu
en cisaillement
vagues par un ciseau buté
c’est là
lorsque les lignes outre passent
entre
brêche tète-bêche
dans la craquelure
ou l’outrage
ces ravines qui percent le temps
le corps une salive
des crêtes des mots puisque le silence absorbe
l’anse
anche os de la ou
c’est à l’aspérité
dehors quand le débord et le rebord pensent dans les remords
la vaillance de l’air la couleur claire un intermède
intercède la cessation du réel
le vent la mer ‘écaille
le temps qui fond donne à mugir
émarge l’erraillement
des marges