Ou que tu sois ou ne sois pas je te cherche , es tu dans les parfums, les incohérences du hasard et je perce à jour les déguisements des femmes, je m’inquiète des nouvelles têtes ,  j’arpente les mêmes lieux où tu m’es apparu encore et encore , et toujours et toujours je m’étonne queLire la suite

Aujourd’hui jour de fièvre la tête est lourde l’estomac sur les genoux, je relis le chercheur d’or ce beau livre de Jean Marie Gustave et toute cette poésie de la terre me saute au visage, le papier jauni livre un secret, peut-être ce pourquoi que je sais depuis toujours, que derrière les mots se cachentLire la suite

 Accepter qu’un poète est un homme et que je suis cet homme qui doit pousser son canoé jusqu’au bout de là où ses mots conduisent jusqu’à la chute et la rupture du corps et de l’esprit par delà les eaux calmes ou orageuses de la platitude. L’homme a qui il manque navigue sur le videLire la suite

Pourquoi m’est il impossible de penser sans image d’Épinal que je puisse lier ma vie à une femme, avoir une vie comme tout un chacun et ne pas reconnaitre de limites aux capacités de mon corps, de ma vie et de mon désir. Pourquoi tout doit il être un combat que j’ai perdu d’avance ?

Car j’ai une belle âme qui me berce doucement merci ma belle âme tu me donnes cet élan qui  relance, c’est sans prix, c’est beau, vois le tumulte de la source qui brusquement aveuglée se remet à jaillir, reconnaissance à la puissance de l’existence, l’eau de vie reprend sa route calmement, sans rien céder maisLire la suite

Le plongeon dans le corps de la phrase, celle-ci entraine à la suivante comme dans un motif japonais qui répète les lignes du motif comme la trame de tout ce qui peut s’observer, ligne à ligne reliée par la navette nécessaire et sans fin des jours que l’on voit dans les fibres de la fougère.Lire la suite