Accepter qu’un poète est un homme et que je suis cet homme qui doit pousser son canoé jusqu’au bout de là où ses mots conduisent jusqu’à la chute et la rupture du corps et de l’esprit par delà les eaux calmes ou orageuses de la platitude. L’homme a qui il manque navigue sur le vide et ramène à lui tant qu’il peut, accepter sa solitude finalement mais reconnaitre l’éclat en moi en toi
Oser être en toute nature Soi sans la peur et la faiblesse car la route ensuite est dure à reprendre c’est cela être vivant la tête brûlée par le soleil et regarder son corps lui échapper.