il fait gris mais le gris est une couleur – c’est comme ne pas la voir se dérouiller les jambes dans le presque blanc les gris émane le gris – le blanc restaure mais se fait rare ferrailles et la pourriture poussent les terres un gris oxydable chimiquement occidant le gris tue alors il cesseLire la suite « gris »
Archives de la catégorie : art taire
j'ivre
mon oeil ivre s’est retourné et étonné se démit en ondes diffuses accalmie de l’ombre dans la permanence sombre
sable
,sable comme une caresse ,, carmine ombrée la raie reluque,tandis que la bise salive le grain d’or,séisme bucal et l’empreinte mord à la peau et chaud , mais courent les rides du sable les traces d’un vent sauvage , poignantcette poudrec’est pondreà biCéphalle crinière cerise ta mise tombe en mèche foudroie les flots lyslisse ondulentbigamesLire la suite « sable »
d'art et dort
(en construction) la banderole le sable à claire la marIée nue dénoue réjouie lac et spasme le mots gigogne quand fer ce peu au bois j’irise ce bleuet tu lippes happe à manche é blouissant des lyres glissent à mes doigts la trachée haute gland ou noix s’éthernise rebelle au bond bal coeurn’roll la coqueLire la suite « d'art et dort »
sable au clair
, comme une caresse ,comme une plage de sable , grains d’or beaux et chaudsmaïs dans les rides du sable les traces d’un vent sauvage , poignantet cette poudre à cheval sur les portées d’air poussière ombrageuseouvert les yeux fermés et le corps aux mains les rides d’eaumarineaux nues le ciel verdure se rouge seLire la suite « sable au clair »
sable
, sable comme une caresse , , carmine ombrée la raie reluque , tandis que la bise salive le grain d’or , séisme bucal et l’empreinte mord à la peau et chaud , mais courent les rides du sable les traces d’un vent sauvage , poignant cette poudre à biCéphalle crinière cerise ta mise tombeLire la suite « sable »
tabula rasa
tabula rasaforme blême cristaux de givre en alignementobliquecet épouvantail comme une larmepend en haillon de fibres finesla déchirure hagarde sol de gel la brume lancinance brise vifassautsflancs entre l’air et la terre qui dortest ce l’humidité cet étouffement d’un temps ressassant impatients trois temps raves ramènent au matin l’incessantvague voile de ce qui ne seLire la suite « tabula rasa »
our
our l’Amour , le fleuve , s’y noyer et renaître pourquoi ce our , beau son sans lequel am se sentirait endeuillé du parfum magique comme une langue maternelle oubliée ou les sons des mots que la source cristalline éparpille , j’en reste au mot , au son qui relie les fils à quelque choseLire la suite « our »
supplique du no limit
Amérita América ton charter me composte à mes santiaguesle no limit à mes godasses s’étale devant mon oeil hagard et d’un coup d’aile amérindienne j’ouvre la porte de ton cachot J’ai chaud j’ai froid mais j’suis ouvert open on dit je crois chez vous Rita ! ta cachoterie m’en nuit j’irai m’lover dans un tipiLire la suite « supplique du no limit »
comme en terre
nAïs , beau que dire et triste et M fil Le ui un gout de pleur rivière tangue à l'( ose et meurt de ne savoir vivre , sans art sang A MOUR file M L R file