L’ombre des grands arbres (2)

Dans la coque une décoction rouge L’altitude nonchalante d’une meurtrière Tombereau des pirogues renversées De la coulée de l’écho l’or sombre Sur les épaules un tissage répétant tous les motifs Fait peur aux enfants qui s’enfuient Recouvert d’une bouillie de mare le bois macéré Machette la tenaille épilatoire Le sang gicle sur le tronc ÉpingleLire la suite « L’ombre des grands arbres (2) »

ce n’est que par la poésie Casa del respiro de spiritu sanctu que brille le matin dans les yeux d’elle que j’aime

Parce que mon sexe cette nuit a rivalisé cette nuit avec mon âme pour te tenir serrée toi dont je ne sais comment se fera la rencontre,  je me brille de tous les feux et s’incarne par toi la poésie, qui reste sur mon front, resplendissante. La Lune sous le halo semble suspendue pendue auLire la suite « ce n’est que par la poésie Casa del respiro de spiritu sanctu que brille le matin dans les yeux d’elle que j’aime »