hâle

incertitude                                        l’espace déroulesous le pas épaisseur lumière plus fine qu’une aile de libellulela pluie diaphane libère des envoutements couverture       la treille                      violeten dessouss’anime                                             la diversitéunie en hâle                                       divergenteprogressive toutes entières prises dans une harmonieles teintes passent                    en glissementet                                            tissent l’improbable.

ouvrir le rien

« … elle ouvre le présent à partir du rien, un rien dont l’ouvert est le jour. C’est pourquoi de toute sa réalité elle repousse les avances de l’étant sous la garde du principe d’incertitude. Elle se tient, elle tient l’être hors de soi. Elle existe à intérioriser ce hors. C’est en ouvrant ce vide, dehorsLire la suite « ouvrir le rien »

les pas du chemin

L S mère et enfant 1996 Il faut croire qu’au temps début le chant doux déplié comme une complainte du corps la mère à l’enfant, encore le corps même et la langue prends des intonations les sons seins de  la lumière, chaleur, terre, sueur, la mélopée inlassable tisse les liens en un avant-goût du mondeLire la suite « les pas du chemin »

passion du regard

la traduction ramène à la langue du lecteur au lieu de faire visiter la langue de l’autre , la vraie, celle de l’espace unique qu’elle ouvre. Ce serait et c’est parfois un sublime effort poétique que d’augmenter la langue de l’espace de l’autre . © Chillida, oeuvre gravé, Maeght/ texte de Jorge Guillen, « mas alla »;Lire la suite « passion du regard »

aux crocs du ciel

Anari , grande chanteuse basque, :« faltaría más…las canciones no son ya mías, ahora son de todos y todas. muchísimas gracias » Anari photo et musique extrait de http://www.myspace.com/anarizebra je ne supporte plus la guimauve, le doux sussuré me fait crisser les dents, le texte tout mou et la peinture d’un pinceau avachi, il fut un tempsLire la suite « aux crocs du ciel »