la beauté, un sentiment de gratitude qui compense le mal (jean Daniel, france culture) L S 2004 L S 2004
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hâle
incertitude l’espace déroulesous le pas épaisseur lumière plus fine qu’une aile de libellulela pluie diaphane libère des envoutements couverture la treille violeten dessouss’anime la diversitéunie en hâle divergenteprogressive toutes entières prises dans une harmonieles teintes passent en glissementet tissent l’improbable.
la forme d’une poche
( après une lecture de John Berger , la forme d’une poche, fage) attentiste, il se promène et hume , lève le nez , sa démarche indique une danse que son esprit impulse en tangage , ou est ce le corps qui se soulève comme porté par des vagues , là de terre et d’airLire la suite « la forme d’une poche »
le fruit est dans la langue
Question de saveur, le fruit entre couleurs et saveur , amertume sucrée pulpe acidulée, acidité L S pomme de chine 2004 L S fruits 2004 L S figue figueras 2004
ouvrir le rien
« … elle ouvre le présent à partir du rien, un rien dont l’ouvert est le jour. C’est pourquoi de toute sa réalité elle repousse les avances de l’étant sous la garde du principe d’incertitude. Elle se tient, elle tient l’être hors de soi. Elle existe à intérioriser ce hors. C’est en ouvrant ce vide, dehorsLire la suite « ouvrir le rien »
tu piment pigment
L S 2005 L’iris est un abat-jour intérieur de l’oeil, rôle qu’a le pigment pour la peau. Plus l’iris est noir, plus le regard se concentre sur le champ de la face et soude les traits entre eux. Malcolm de Chazal , sens plastique , l’imaginaire
les pas du chemin
L S mère et enfant 1996 Il faut croire qu’au temps début le chant doux déplié comme une complainte du corps la mère à l’enfant, encore le corps même et la langue prends des intonations les sons seins de la lumière, chaleur, terre, sueur, la mélopée inlassable tisse les liens en un avant-goût du mondeLire la suite « les pas du chemin »
croqu’Odile
© L S 2008 l’ombre taille… © L S 2008
passion du regard
la traduction ramène à la langue du lecteur au lieu de faire visiter la langue de l’autre , la vraie, celle de l’espace unique qu’elle ouvre. Ce serait et c’est parfois un sublime effort poétique que d’augmenter la langue de l’espace de l’autre . © Chillida, oeuvre gravé, Maeght/ texte de Jorge Guillen, « mas alla »;Lire la suite « passion du regard »
aux crocs du ciel
Anari , grande chanteuse basque, :« faltaría más…las canciones no son ya mías, ahora son de todos y todas. muchísimas gracias » Anari photo et musique extrait de http://www.myspace.com/anarizebra je ne supporte plus la guimauve, le doux sussuré me fait crisser les dents, le texte tout mou et la peinture d’un pinceau avachi, il fut un tempsLire la suite « aux crocs du ciel »