© L S mar 2005 © L S mar 2006
Archives de la catégorie : POESIE ET PEINTURE
pigeons volent
© L S village 2006 © L S ombre 2006 © L S murs 2005
el poeta
el poeta bataille pour ne pas perdre l’équilibre, non dans la cohée du Lamentin mais dans la cohue de l’émeute des retours accroché à la paterre du métro © L S el poeta 2005 non je n’ai pas dit de la meute ni de l’émeu , concentrez vous s’il vous plait au lieu de meLire la suite « el poeta »
le songe
© L S, l’appel de la terre 1996
caballo
traces pourpres reluisent dans le jet de la mémoire , s’enchaine dans une perception du mouvement , le rythme ne calme pas l’attente , il remonte le temps et frappe la terre comme un retour en retombée danse et piétinement , tu te prête à la vitesse , aux ailes de glaise le roc durLire la suite « caballo »
« l’averse étincelante et céleste de son sourire ».
quant à moi ma hache à la main avec préméditation j’hacharne à briser les barrières d’un bois serré dont on fait les prisons à tomber pour transpirer la lumière d’une caresse enfin libre mes murs de fer laissent l’aspire d’une aube charnelle envoler les lèvres pour qu’un mot se dessine à se poser sur taLire la suite « « l’averse étincelante et céleste de son sourire ». »
aurore casa en sol
oioioo ©L S, 2005 birds in the nest caracolent et piaillent ©L S, 2005 sol feu brûlant et l’ombre si fraîche dans un démélé de ronces surgit l’églantine si elle pique la tige ébrout la fleur aurore tyrrhénienne cimes les pétales en couronnes moucheté d’orcoeur all l’oisillon ébloui apprend la douceur ©L S, 2005 cabaneLire la suite « aurore casa en sol »
cubanos xoriak
en una etxe en ©L S, etxe, 2003 Euskal Herria ©L S, Euskal Herri, 2003 en los arboles argentinos © L S, 2007 son © L S, xoriak, 2004 cubanos xoriak et aussi « erre « le revers de l’envers , azotanarcosis ! ne jamais oublie l’amertume , c’est l’envers du songe de l’endroit , bienLire la suite « cubanos xoriak »
faire ailleurs
« Gascons, nous sommes restés batailleurs, mais non des engagés. Si les capitaines Manciet ont fait merveilles lors de nos guerres de religion, ce n’était pas par conviction religieuse, mais pour le plaisir de la « belle guerre » . Jamais notre langue gasconne ne fut aussi musclée qu’au temps de Montluc, du Bartas, puis de Guillaume Ader.Lire la suite « faire ailleurs »
ce que le regard cache
la peinture sans effet de forme ni de style est plate, le peintre applique pas si simple car elle peut vibrer ou est ce l’oeil , qui sous les paupières entrevoit laisse paraitre la magie de la terre de l’air du vent de cette irlande qui se trame évidente et le trouble embourbe et dévoileLire la suite « ce que le regard cache »