Mais la fleur
retient la buée au bord du jour
buée qu’elle boit
faire gonfler les rayons du soleil
pureté des blancs
au vent
lavé par les pluies
eaux
ne sont pas eau
luisent
Respirer
étoffer en soi les fils engorgés
joie
tige escalator qui monte au plus haut
jour
s’amoncelle en bris d’éclat
l’astre
dans son sourire le balancement
vent
le parfum entêtant quand je meurs
tâche
l’obstination des trajets de vert
Toi que picore la corole au soleil
brille
chante la venue sur le bord de l’appel
grille
sur la chaleur de l’orange brisée
Oh la fleur qu’un souffle peut éteindre
mais la fleur ranime
l’amour de la terre pour la douceur
dérive dans les ondes

Le désir est une glaise
étoile
souffle
caresse d’air
force à durcir
carapace d’or
provoque la pluie
amante d’une attention
mon envie
s’engouffre
fleur
sans s’éteindre
s’engouffre
sans t’atteindre
met le feu
dans l’air
afin d’y voir dan le noir
Le clarté au printemps des fleurs à éclore, doux éclairs de rayons de soleil.
le printemps rode tapi (r) au fond du bois
ou est ce une cruche
qui croupis entre les pétale du lotus
grenouille
ou crapeau buffle
déguisé entre les algues flottante
retentit
le caquètement printanier