allant du plus suave à ton excavation par les chemins offerts au vide
survoler
les ombres parallèles du contrefort sans omettre l’adoucissement
grave un calame pour seul vaisseau
les voiles tendues de la pierre et les cheminements des sables gravir les graviers les pas allant
des enlacements de l’un à l’un
ruisseau menant à la pente dressée les étendues invitant à la marche
le ravinement incline
une ligne relie le propre et le couchant le glissement le tendre de l’éboulement
la douceur de ces tranchants
les brisées de l’épanchement
la terre n’étant que le passage