C’est le pays qui s’étend et s’éprend du réel, se tend dans la nécessité de ce qui est – le pays est fait de ce que l’on a laissé et que l’on retrouve mais qui surprend car plus du tout ce à quoi l’on était habitué, quand même les mots que l’on avait pour désignerLire la suite « La tabaroinha (la paysanne) »