quand il faut reprendre
le temps s’apaise
un silence éloigne les bruits
l’architecture
les lignes surgies d’une flute
la musique suspendue
le papier opaque retient l’encre créant un mouvement
lui donne asile
l’homme assis dans le coin en proie au vertige
la géométrie et l’espace se fie au temps
la promenade de l’âme
à l’opacité d’atténuer les charges de la mémoire
la pensée circule
la fenêtre est si fine que l’on entend gémir le vent
les étoiles
la pluie percer des nuages
le monde des hommes est à son comble
le signe un aimant
retenant et retranchant où la fatigue ici étanche
l’homme assis se laisse aller au monde
J’ai vu ton tag méditation. Je médite avec toi.
oui , au stade où j’en suis il vaut mieux opter pour la méditation , 🙂 remonter le cap !
Je vois… Je lis… Je suis touchée par le silence qui émane… haut en couleurs… sauf que, en fin de compte, la vie allonge « l’homme » à souffle suspendu, la réponse au silence n’est qu’une larme de sève glissant lentement sur la joue… chez moi, c’est à gauche, côté cœur… là où jamais plus rien ne saurait demeurer « assis »… ? Mais, la poussière de ces mots est-elle « lisible » ?