mais si boire à la source nous vient du ciel
boire dévale la fraicheur de l’aplomb
l’arythmie facile est démentie par le chapeau
la montagne n’est pas à grimper
mais la vapeur qui bruisse sous le couvercle
ruades dans les creux
l’ombre étouffe
le choc des certitudes
le vertige en taches
crissement du végétal
y parvient le vide
sans qu’il y ait de débord
roucoulent et saouls
les lignes éparses
sérénité ombrée
des plis du moineau
Avec bientôt la saison d’automne les sous-bois auront de cette inspiration mousseuse…belles lignes de vers, Lam.
merci de m’avoir donné envie de secouer ma léthargie !