à chaque ruée de la touffeur, l’être là où ça s’enfonce, en soi et le mystère. Et la vie qui vibre et les mots retenus comme ceux du vide .
Archives de l’étiquette : Jean Desy
Marcher en beauté
le cœur et les muscles comme pollen. Sans qu’il soit besoin de l’inscrire dans un poème, la vie étant poème, la source comme je la vois .
la cabane
L’être court, relève le défi, se confronte à la neige, au froid ayant décidé qu’il lui fallait voir clair j’en sens l’écho et je l’écoute.