Elle les a tous rencontré, quand qui où ils furent il ne reste que le nœud de cet instant, entre deux passes dans le noir et s’étendant, c’est un endroit violent, exposé dans ce tournis de pinceau, il y a le choc sans douceur qu’elle a pour le dire. la pesée du corps interrogatif sur le papier et cela sans fard.

Penché, vent sur la peau, l’haleine puissante puise dans le corps qui suinte, et mates ce sont les mains aussi le toucher sur la surface qui circonvolent, empêchent, retiennent et dessinent comme un semblant de penchant, les incisions de la trace marquent les variations subtiles du frôlement rendre les armes comme épanché, dilué dans l’eau. Il y a eu un combat sur les ombres. Mais la terre n’en fini pas de respirer. et l’aube apparait.

Bien sûr cela remue derrière la peau nous est caché, dans la nuit rodent les loups, figures qui mordent menacent et crient, dehors même entre deux corps et même si ce n’est que le sien, cela monte et même sans bruit, brut, sans fond de teint, alors la peintre peint . Et il y a l’impudence. Quelqu’un ose se mettre debout.

Pour suivre
Go girl
Magnetic fields
Germaine Greer on MD
Pictured
South Africa, the culture trip
@Tate Gallery artist talk
\ the image as burden
J’ai un très grand coup de coeur pour votre travail ! quelle sensibilité et quel immense talent !!
et bien merci ! c’est agréable de s’entendre dire des belles choses comme cela , j’espère que vous reviendrez , Lambert
9a me fait encore plus plaisir venant de toi ma chère , bien sûr que l’on va essayer de se voir !