Si l’on peut s’obliger à écrire quelque chose tous les jours, l’on peut aussi s’empêcher de ne pas ouvrir un livre à une certaine page et en laisser lire quelque passage ; ce fut le cas du livre de l’intranquillité ce midi ;laisser couler de la page en soi un peu de magie et inspirer dans la journée de cet air, si vital, étranger à l’insensibilité
les phrases comme un baume avant de glisser dans un rêve éveillé en guise de sieste, en suspend entre rêve et image du réel qui sont liés.
