la maison blanche obstrue la rua on voit un arbuste dominer l’ombre et dans les interstices de la perspective passent les vides des possibilités fantômes d’une renaissance quand les femmes passent éclatantes dans cet ocre rouge le vert balance à se déchirer la rue s’illumine de la naissance et octroi les pas qui mènent vers la porte qui peut toujours être poussée un bouquet à la main.
rouge heure
Publié par Lamber Savi
Défiance créative: peindre, écrire, traduire, simplement suivre les bulles du courant http://about.me/lsavigneux Voir plus d’articles
vers, à se déchirer les mirettes en imaginant la scène, Les ailleurs où s’évader. poésie colorée est ta plume d’un « je dis »
j’avais besoin de me réconcilier avec le blog car ce matin il m’a mangé-évaporé un texte assez long que j’aimais bien , pas sympa ,
là je dis et je vois ou plutôt je pressens ce que je vois , je me dis tiens ! ….
un blog mangivore, quelle horreur !…J’imagine cette frustration, j’espère que ce long texte reviendra s’afficher. Pas de brouillon automatique dans worldpress ? . tes textes ont plus que souvent une lumière entre les interstices, j’apprécie beaucoup, voilà qui est dit. définitivement.
si normalement il y a un brouillon mais là zoup , évanoui