être de ce terreau là dont l’ombre de la cape ensanglante par avance le poil
finir par être au monde comme on partage cette fin rien d’humain l’autre en étant une part de soi participe à la mort
entre les deux, écart et déséquilibre par où s’engouffre la lame
cachée mais que le geste avoue préméditée
ce qui ne veut rien dire
que l’ on se survit par une prouesse qui met en jeu le geste dans quelque chose de nos confins des bords de notre forme par lesquels la blessure pourrait renier ou rallier
l’exclusif est réducteur c’est à quoi s’applique l’homme la bête qui ne comprend que ce que l’éclair semble entrevoir de l’ordre immédiat apparenté la dévoration si l’on admet que la masse rencontre la masse et englobe
du premier attachement au lieu et à la langue l’un va au monde, l’humanité à l’animal draille à soi
élargir l’être de
et savoir que c’est de là que tout provient, que l’on en porte à bas les couleurs revers de l’ombre mais que là commence la construction de sa présence dans cette passe à la mort qu’à l’ouverture quand le mouvement procrée la lumière
Oui…
N’être… que cela…
Naître qu’en cela…
« Au creux des souches »…
Mais là…
C’est tellement « dur » de « se fer » entendre…
Qu’il nous faudra imaginer « une création » ad vitam…
L’espoir est-il une utopie jouxtée à la limite du « rester-là « vivant » ???