Deux allongent un pas bien majorquin Deux si sont tout seuls au monde Nagent au bassin d’amourachement Deux feuilles hirsutes de pluie rouge Veine qui brûle deux feux sur la pluie Grelots d’eau résonnent à ventre joie Deux pas pressés aboient s’enlaçant Deux fous élus viennent de s’élancer
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hume une rose
ton nom est celui d’un chat et me regarde comme un pylône ton œil retient nue l’eau mot final pour être météore sur l’oeil sans partir une mue sans bouger les lèvres murmurent les élans les doigts des cornes sauvages emboutissent des jambes à l’infini dansent des prairies de fleurs