et que pleuve le temps

A l’angle du grand arbre où la végétation étoffe, dans ce  glacis des branches et pendant aux feuilles comme des robes des disparues, le sourire angoissant des troncs ouvre sur les filaments de charme, et pendant des hautes branches les sourires perdus qui tombent, continuellement en silence, dérobés aux bouches qui te promettaient, ces archipelsLire la suite « et que pleuve le temps »