sur le programme télé , sur Arte ce soir Un DIVERTISSEMENT nommé Bamako !!!!!!!!!!!DIVERETISSEMENT !!!!MORT DE RIRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!à voir absolument ces quelques quatre vérités assenées à la logique occidentale,divertissante (!!!), divertissement genre star AC , la photo le ferait croireen guest star : l’Afrique , Aminata Traore, et le FMI , de quoi se tordreLire la suite « bAMAKO, LA COUR »
Archives de la catégorie : terre en rive du monde
ken Bugul
Les matins de la rue Félix-Faure étaient des matins qui réconciliaient l’être avec lui-même, avec l’autre, avec la vie. Le philosophe de la rue Félix-Faure disait que les matins de la rue Félix-Faure réconciliait l’être avec ses élucubrations, ses incertitudes, ses angoisses, ses doutes, son égoïsme et, malgré tout, son espérance. C’était l’espérance doublée deLire la suite « ken Bugul »
Tanella Boni
Elle sortit au grand jour le ciel restait basElle sortit au grand jour le ciel rampait àreculons il noircissait de plus belle alorselle comprit qu’il pleuvrait haut et fort cemidi là Lire la suite « Tanella Boni »
Safi Faye
le musée Dapper rend hommage à Safi Faye, Mossane, ce mot veut dire beauté en langue serère Mossane, à l’égal de la beauté Serère, la couleur de la langue dans la vivacité des déplacements du corps, étrange charme en suspend le temps est comme une peau disait Tanella Boni, et la lumière chante en cordeLire la suite « Safi Faye »
NEVERMORE
et en ronde insatiableon a vu danser les motsmots farandole mots blessures, mots fatigues,mots joies, mots révoltes mots dont les êtres sont la têtedont les mains se rejoignent mots en toucher frénétiqueapaisement de l’écrasement et des mains qui se joignenten boucles d’obstinationferment les plaies de la laideur murmures en mélopéescomme autant de lettrescette phraseles motsLire la suite « NEVERMORE »
mordre au coeur
blanc, nuit, mer ….soleil, ombre , partir, la légèreté gracieuse de l’ile! et la courbe féline de celle qui mord au coeur, elle enrobe son charme comme le lièrre autour de l’arbre creuse le sillon d’une parure baiser farouche la beauté obstinée n’a qu’une peau rappelle l’eau au matin
la femelle du requin
à voir sur le site la femelle du requin le bel article consacré à Bernardo Atxaga
rehaut
Faut il se contenter de laisser vivre ce qui pousse ou déborde,prendre un certain recul et me dire, mon rêve, ma pensée mon désir,ne faut il passe bander et propulser l’informeet oser, le provoquer?doit il, ce désir attendre le moment,embourbé,doit il, fatigué de suivre les méandres qu’a fini par creuser la pensée, le souffle, leLire la suite « rehaut »
au pays du long nuage blanc
fini de lire le journal de Charles Juliet en Nouvelle Zélande, de Juliet je connaissais surtout les entretiens avec Bram van Velde, concentré de puriste attitude en Art, qui m’avait marqué et en même temps ennuyé car répétitif , la nouvelle Zélande, le pays où je voulais émigrer quand j’avais vingt ans et dont leLire la suite « au pays du long nuage blanc »
pouh
« … Seigneur, Lui dis-je, est ce que oui ou non vous exigez que je supporte les poux? »Son rire silencieux ébranle encore les collines à l’aube. (James H Baxter, Sonnets de Jérusalem; in écrivains de Nouvelle Zélande, revue Europe 931/932) LS