De toutes parts de telles contraintes que je m’en sens tout rétréci. Sans que le monde en perde son importance, sa dominance m’oblige. Il n’est nul besoin d’écrire.
Est-ce une parenthèse accolée au monde, une parfaite concordance, le monde et moi quel consensus et respect des formes ?
Il fut un temps où je lançais des bûches dans le feu , où le réel me venait dans la bouche par gerbe de feu, mastication de l’imaginaire, envie , défi, maintenant, l’interrogation porte.
Monde sans être définitif est une pression sur le corps, une torsion de l’esprit qui manque de faire vaciller. Peut être pour rassurer, ce n’est peut être que respirer.
Ecrivez avec nous !
Pourquoi pas , à bientot !
A bientôt 🙂