aller l’Un dans le pas
se sevrer si le lait manque
et que serre l’autrui
gicle le froid
ces huitres de pailles
huttes prennent feu
le gel illustre
tu me dis c
e serait
et
je me tais
attent
if
à la grande douceur qui irradie de toi
d’apaisement quand se repose la nuit
et que tes yeux beaux sont deux lunes
le clair pur
pour
un instant
j’ai savouré
tété de la tête
et opiné
du chef
réduisant le heurt
et âmement séduit
me suis amendé
dans l’accord
les cordes ont beau frotter
l’archet s’obstine dans les aigus
ou vaque dans les largeurs
il suffit de savoir
qu’une échelle fourche
qu’une fourchette elle
tandis que clé ronde
ouvre ou ferme à l’envie
que la vie picore ou coeur
cheveux à ras bain d’oeil
jupe verte fume t
elle
chemin qui fume oà
u hume par la voie
de bouche
ou voix
vox est libre
ou
sur le quai de gare
garre
un apétit
orange ou plut ôt
saumon

l’inatteignable fuite
se dilue
dans le ciel bleu
saumon
ou or ange
picore
sans or ni ange
se lève et grimpe
jah cob
compte les barres
les croches et
tombe de l’Escabeau
ladder
eche elle
est ce Elle à la maison
qu’elle ouvre
ech’ouvre sur elle e
t referme la bouch
e
sans ie
ni ouïe
une tête in
POESIE
en catalan
suppose
d’ouvrir
barreau après barreau e
n v
ertical
d’ELLE
arrondi crochette e
t
temp
ère
la
vapeur
lumi neuse
légumi euse
alumni
de lux apaise
lèvres pleine livre
en boucle
nu age effile le sang du ciel
absorbe
dans l’art
une bouche d’usine
quand la vapeur
du coal
poilue
finalement s’éteint
e
t qu’il e
st
l’heure