Finalement
on ne peut rien dire de l’amour,
elle
aurait pu elle avait tout pour être
elle a simplement
quelque chose a
décidé autrement
et a surgit le vent
l’a entrainé ailleurs
image de western
ville fantôme
She Gulch
hachée par le vent et roulent
la caravane et les indiens fou furieux
les herbes en herse
vent qui hurle
piment doux ton visage en bocaux
ce doux sourire
qui ment
sous les jupes enjoliveuse paroles qui se cachaient
vipère fourche de langue poudrée
belle ton voyage sentait long comme un foulard
autour d’un cou tu aurais pu et j’aurai bu
à la gourde
qui m’a séduite sans amorce
pétard mouillé
maquillées les beautés
un volet clos , des violettes séchées
oubliées dans un pot un grillage soudain
et j’ai du
épousseter ses jeans
faire sécher le maillot et rouler tout nu dans la poussière
chien de prairie
et siffle vipère le vent
vente la jupe
fleurs de tissus
et jambes de vent
au loin mes lèvres
portent secours à mes jambes
paupières larmes
qui l’eut pas cru ?
Hey l’ami…je te lis avec tant de plaisir chaque jour depuis ce flot qui semble prendre possession de toi ! pas d’analyse, nous avons déjà parlé des mots et de leur arrière. Mais tu as des images au bout de la langue et certainement au bout du coeur qui sont magnifiques ! MERCI
merci Nath , oui c’est bon signe quand je me remets à écrire …