e muet
s’efface l’ourlet
articulation inusitée ces sons en disent long
qui entend le vent
qui entend l’inaudible sous les branches des voyages
ploie la masse se fait sentir
sont-ce consonnes cette alliance ce lien
nécessaire pesanteur arrime
les masses dans le mot écrase rythme l’air
sinusoïdale longe sans fin la bave de la chenille empilement cataracte des anneaux
l’homme immergé saisit des bribes et articule se remémore
forme dans la bouche l’aspect fulgurant du monde ce qu’il en sait
mouche termite abeille points de repère et traces voyance le journal du Rêve est la mémoire de l’infini que le geste termine reprend atermoiement du vivre
goutte sur le sable temps que la bouche expulse que cueille la main
même si ton texte est déstabilisant, désorientant, il ne laisse pas indiffèrent…lieu autre …lieu sans doute notre …dans un temps devenu apôtre…
oui, je cherche des nouveaux passages par des chemin oubliés, je comprends qu’ils déconcertent, mais parfois il faut être résolu si on veut trouver,
mon flair en se moment m’entraine par là, et j’ai résolu d’y aller
très heureux qu’il ne laisse pas indifférent, preuve qu’il y a quelque chose par là ;
merci de ton passage et retient l’adresse !