L’élancement du pinceau plonge au cœur du vide recueille le vivant qui cherche à percer comme les mots qui affleurent nourrissent le sentiment d’exister. Les pigments de mots, l’étincelle, laissent rêver au feu des couleurs, au pesant de la lave comme un retour à une ascendance révélée au fil des visages que l’humanité se donne.
Scruter la terre la nature est son atelier, la couleur, la matière musicale ouvrent le sens intime.
Peintre Poète, il sculpte le rêve que la main porte, en écho à ce chant du monde au cœur de l’homme immémorial.
Disposés ainsi ces mots en langue anglaise puis avec l’illustration, tels un arbre et ses feuilles vertes.
L’espace blanc au milieu à remplir de « I as we »
J’aime beaucoup et heureuse de te voir reprendre « les vents de l’inspire ».
Toujours avec Bises&Souffles.
A bientôt, Lambert.
oui c’est vrai ça fait comme un appel d’air autour de ces deux mots en étoile en branchage
moi aussi je suis content de reprendre les vents !
au mois d’aout ? you’re welcome ! me suis baigné dans une cascade furieuse cette aprem !