et timidement
propulsant
paleofolia
s’il faut fébrile
un bruit de parole
le battement
papille
le on de nos langues
affolé
la toux de nos bras
s’arrêter écouter poursuivre nous reboussole
et de fil en fil
un ricochet
parole chuchotée
craie
un navire accoste
détonne étonne tonne
et nous nous enflons
libellule
ventre
en nous même
et nous libérons
moustique
une envie
le mot notre et le regard autre rêve temps l’un à l’autre
et nous pousse ce qui nous
pousse
est donné
nous pousse à
vouloir
donner
à son
au tour
du mouvement rompt l’immobilité
nous germe
logique spermatique
s’il en est l’
« oeil
tend
le
bras
traverse le hasard
Lam… Tu le sais bien, c’est le contraire qui intervient ! C’est le hasard qui traverse l’oeil… et si ce n’était pas cela, tu ne peindrais pas !!!
what do you know ?
as the sense of hearing…
sounds make an entrance…
then, we reply to…
and so the game of chance…
but I don’t know… Chance keeps in touch with my life…
and then, my eyes…
???
Je crois qu’en définitive, mon dernier billet publié ce soir sur http://alphathanoromega.wordpress.com/ répond « amplement » à ta question : connaître le rien du RIEN à l’approche… en définitive, c’est intégrer le « tout » qui d’aventure s’en vient à nous cerner…
Bon : ce n’est pas compliqué ! C’est subtile !!!