changer d’esprit, avancer : le futur est tout grand ouvert ! (Bijou Letord)
le futur ouvert, s’il faut dire
si le passé est grand fermé
à moins de flotter dans le présent
bénéfique
et ouvrir une autre ère du temps
, une autre dimenssion du temps
, sans reference
passé-futur-présent
ni ouvert
ni fermé
tourbillonnant dans l’immobilité
le temps est fou
si nous voulons le chevaucher
Le temps est un horizon
A gagner à la pêche
Tenir la barre
Autant que l’horizon
Au loin.
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La texture de ton aquarelle dégage des sensations visuelles qui s’accordent bien ensemble.
Mes meilleures pensées.
à toi lam…
Et à vous Syl, non, il me semble ce soir…
Le Temps, ce temps-là évoqué consiste en une autre dimension au sein de laquelle « la pêche » laisse les filets vides et le pêcheur bresouille sous son phare personnel.
Il me semble ce soir auprès de cette aquarelle…
Il s’agit-là d’autre chose, vraiment d’autre chose, qui m’apparaît soudain avec la force de l’exprimer… sans désir de préciser au-delà car toi seul sais, lam, de quelle nature est ton chemin de vie.
Mais si notre point commun consiste à cheminer, nous ne sommes « pas encore » tous parvenus au même point du sentier…
Ainsi nos blogs respectifs ont tous leur raison se vivre en coreligionnaire pour nous permettre d’exister « ensemble », chacun à son stade d’évolution personnel…
L’art remplit sa fonction progressivement logé tout au bord de notre âme… où les racines prolifèrent malgré soi… même si elles ont été rompues à un moment donné…
Bien à vous tous, Marie-Christine
oui MC tu as vu juste , il s’agit d’une autre forme de temps que celle à laquelle nous avons l’habitude de nous referer d’ou ces quelques phrases , j’écris très peu en ce moment v, n’ai pas le temps de creuser , mais le temps est au coeur de ma problematique , j’y reviens sans cesse ,
là ces quelques mots veulent dire qu’il est une autre sorte de temps , auquel répond un autre rythme, presence au sein du poeme , qui n’est même plus poeme,
ce temps là englobe beaucoup lus que nous et les mots y trouve une résonnance autre , parfois ils s’arretent et ne franchissent pas , il reste sur le bord , il y ont mené, ils désignent vaguement , ils ont perdu la prétention et laissent l »être se déployer sans eux, eux mênent, ne sont queles coup du baton sur le roc, ou le rauque du rire , de la voix,
oui tout cela prolifère, c’est une danse, une convocation, mais la n’est pas l’important, le temps , dont nous ne pouvons nous éloigner apppelle,
l’aquarelle, ces pigments mouillés n’a pas vraiment à voir , il faudra y travailler, trouver une accroche
lam
@ le temps , l’horizon , peut être oui , si nous ne savons voir que ce que nos yeux lancent devant nous,