la voix scande et ouvre le poème
danza de la paloma enamorada
poète et musicien argentin:
(préface à « airs indiens« )
« Il revendique et assume hautement le double héritage des aïeux qui lui « galopent dans le sang » . « Mes forces me viennent de loin dit ATAHUALPA YUPANQUI . De la la vie libre conseillée par mes ancètres basques, du silences de forêt et de pierre que mes ancêtres indiens mirent comme un dépot sacré dans cette étrange caisse de résonnance que m’a donné la nature en guise de corps et d’esprit … et je me suis trouvé face à un long chemin, attaché à une guitarre, me disant que c’était là une énorme responsabilité. Et dans les limites de ma capacité moins forte que ma conscience j’ai pesé chaque parole d’une chanson, chaque couleur d’une copla, chaque sentiment qui attendait le chant pour fleurir. »