il ou blie si elle t ou w ombe à a tt endre ander gyne soi i elle ob s cure fon de ment vér i té nez yeux lèvre se taire pen dues per Lire la suite « elle j'ai mis »
Archives de la catégorie : Uncategorized
Abitus
gorge dans le geste gifles les trainées de pensée évadent et pollenisent les trajectoires pages si elles sifflent somme désencagent l’habitus
I as we
I [top of the tree] mashes leaves Lire la suite « I as we »
Heart in toes
for life like love has its ups and downs , wherever or whichever shores or elsewhere your loves are free now< we are apart , beautiful friends though tough to beat feelings not so clear , your lies your truths all apart , sadness in the night waiting for mine to arouse, my winds toLire la suite « Heart in toes »
nu blanc
trouble une lampée dans la pleine lune au noir le vent dans le blanc le désespoir d’aimer se sentir comme jetant à la nuit la lumière blanche comme nue mon angoisse et mon attente les yeux trou ma respiration rejette de ma vacuité dans la vacuité la parole jetée à la nuit l’en vie reLire la suite « nu blanc »
Sans y penser
on s’apercevait de mots en mots et je me rappelais le rêve que j’avais de toi un vent fait claquer la fenêtre du passé et je frissonne étonné de cette pensée une neige sur le rebord et sans y penser c’est une main de géranium rouge
l'un et l'autre
est ce une feuille qui regarde sa branche un papillon qui nargue sa chenille ou l’inverse , ou est ce l’espace entre eux deux seulement l’espace , qu’il faudrait considérer mais alors ce pourrait être aussi ce qui dans l’un et l’autre renvoie à l’un à l’autre ou dans cet un ce qui est enLire la suite « l'un et l'autre »
les mains
une lueur en faisceau crée l’espace on imagine à l’infini sans borne ce n’est pas une couleur l’espace dévale dans une plénitude sans un bruit qui ne heurte harmonies un chant des sphères une ambre de silence velouté l’écho des ailleurs rend visible la lueur on perçoit les rythmes mouvements égaux une écriture ancienne scruteLire la suite « les mains »
hélicots
l’azur contredit s’étonne du sang caillé une épanchée sombre les baigneurs écœurés entre les nappes de mazout hurlent aux gémonies les carcasses hurlantes des mirages les sillons foutres de guerre, l’oiseau dans le ciel voit son ombre sur la jeté un bec des plumes les écailles d’une écrevisse les yeux mouchetés d’une rascasse la bouillabaisseLire la suite « hélicots »
a piedi sur la luz
(texte à suivre)