Sur l’ouverture
le monde nu sur l’imaginaire
qui le monte
sans rien voir
sans entendre
seul bruit
l’air vibre
le son
se retire du
Centre
à la craie comme un diamant
l’éraflure
jusque vers les
bords du verre
comme en marge
une étoile
se perdrait
en toute
excentricité
    il y a l’os
et la moelle
Une conscience de terre
grouillante
de chair
sous le poids
de la lumière
alors que l’odeur
  sous les peaux mortes
impose
expose
implore
explose

Publié par Lamber Savi

Défiance créative: peindre, écrire, traduire, simplement suivre les bulles du courant http://about.me/lsavigneux

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