De tous les cotés des ruisseaux
l’eau qui polie l’émeraude
l’éclat du soleil les rattache à ton cou
à la larme sur mon oeil que je jette
à l’étoile sur ta peau
à tous les regards obliques
qui percent sous mes pieds
qui collent au sable
à la trace de ta dérive au loin
ma douceur se heurte
à tous les bords des vides