Comme si l’avion accroché à mon flanc je sens les moteurs qui arrachent mes entrailles les déplient des kilomètres d’entrailles avant que ne se déchirent brutalement dans le ciel bleu dans la vapeur de nuage dont je suis le gardeur l’en traille l’avion et les fleurs l’oiseau hilare de l’île en vol canaille à la belle qui pose son beau pied lumineux sur la terre aimée si douce sa chevelure que les fleurs embaument de la sueur Paradisiaque.
AAA
aradis