Au seuil de la déprime, la tristesse et la rage ne pas fermer la porte, la laisser ouverte pour que rentre l’air et que s’envolent les peaux mortes
toujours debout souligner quelques mots de rouge puisqu’ils ont fait le sel de la vie ouvriront les Offices, les salles de concerts, les cargos, les ports et les ponts, allez à Lisbonne, Prague ou Tokyo
Souligner les mots et en faire une liste, l’ossature d’un renouveau, la carnation d’un sourire et le sniff d’un halo de loin le contour de tes lèvres, alors je partirai suivrai l’itinéraire d’un nouveau printemps entre deux voitures de corail
