Peut être que chercher à dérober quelque chose sous le couvert permet de laisser s’épancher, trouver un autre canal pour que s’écoule sans causer de boursouflure d’éclatement ou de rupture dans le tissus, ce serait une blessure une taille hors de la continuité , un champs d’épanchement – alors que ce déferlement ou le juste écoulement sans catastrophe ni digue force le flot que rien ne retient à se voir comme eau, surtout pas une référence quelconque à une réalité qui n’existe pas. H2O pour ce qui ne se figure pas mais tombe en cascade, véritable rhizome de mes journées voila la métaphore. Voir alors qu’au fond il n’y a rien, autre que la résistance à un inconnu que rien ne permet de circonscrire, laisse couler, pas de papier pas de crayon, une digue cède, juste un endroit de crainte qui pousse à la dérive.

quelle belle matière
Merci Lanlan , la photo ? oui une image comme j’aime en faire qui retissent le reél et la lumière , merci encore