Sous la lune le pont bouge
rouge les feuilles de l’érable
et la bouche qui murmure
blanche les fleurs du cerisier
blanche la peau sous le jais
la peau enjambe un pont
et l’amour coule en dessous
l’eau et les feuillages et le halo
rouge fièvre un chat à la lune
embrase les feuillus d’un sourire

Merci pour ces mots comme une peinture… Je ne connaissais pas cette version du pont de Monet !
cha’plume, ch’allume
en désespoir de cause 🙂
chaleur cha’buse